Cette semaine, l’agence en3mots se plonge dans l’univers impitoyable des « don’t » en fonction d’une actualité récente. Trois exemples à ne pas suivre
Règle n° 1 : Ne pas tirer sur l’ambulance, ni se moquer de Nabilla.
Alors que la starlette des « Anges de la téléréalité » est toujours en prison et soupçonnée de tentative pour promouvoir son black Friday (jour de soldes d’après Thanksgiving), la marque Darty a envoyé deux tweets qui se référaient à Nabilla et qui n’ont pas du tout plus aux internautes. Côté design, la sobriété était de mise : graphisme, carrés et couleurs franches. Mais côté message, le bon goût n’était pas au rendez-vous dans le diptyque « Mais t’es en prison et ça capte pas ? / Non mais Allo quoi ! ». Du coup pour se faire pardonner, la marque a twitté « Désolé, on a craqué ».

Règle n°2 : le porno, même chic est interdit aux moins de 18 ans.
Et a fortiori aux moins de 2 ans. Le magasin Café Press a mis en vente en ligne des vêtements pour bébés avec des messages à caractère pornographique et s’en est mordu les doigts. Ajoutant à cette bévue un message qui était un appel au viol, il a dû présenter des excuses officielles après avoir défrayé la chronique du Bad Buzz. Pas glop.

Règle n° 3 : Se méfier des études de marché.
Les marchands de jouets ont rugi de colère quand ils ont découvert d’étude du magazine Que choisir publiée dans le numéro de décembre, montrant, statistiques à l’appui que le prix des jouets grimpait de manière conséquente au moins un mois avant Noël. La hausse des prix commencerait dès le 8 décembre, selon le magazine, qui a comparé les 30 produits phares12 magasins : Toys’R’Us, Joué Club, La Grande Récré, King Jouet, Maxitoys, Auchan, Carrefour, Cora, Géant Casino, Leclerc, Amazon et Cdiscoun. Un bad buzz sur lequel Joué Club a rebondi, mais la marque qui est peu présente sur les réseaux sociaux a rebondi en publiant un communiqué radio. Pour ceux et celles que ca intéresse, les abonnés du magazine en ligne ont accès à un comparateur de prix.