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Jeux d’interlocuteurs pour une attention maximale.

Cette semaine, 3 campagnes très diverses montrent que la stratégie qui consiste à multiplier les émetteurs et les récepteurs d’un message galvanise le buzz sur le web.

Papertweet, les internautes porte-paroles de ceux qui ont faim.
Afin de préparer le 15 juin, journée mondiale de lutte contre la faim, 8 ONG ont réuni et numérisé des « papiers » contenant des messages d’individus souffrant de faim ou de malnutrition. Ces « papers » émouvant sont accessibles sur le site www. papertweet.org, où, le 15 juin, les internautes sont invités à choisir un de ces messages pour se faire le porte parole de ceux qui ont faim auprès d’un homme ou d’une femme politique français. Ils s’adresseront directement au choix à François Hollande, Annick Girardin, Laurent Fabius, Najat Vallaud-Belkacem ou Michel Sapin, afin de demander le développement d’aides à ceux qui parlent par leur tweet. Une campagne de crowdspeaking qui met la multiplicité des voix et des voies prmises par twitter au service d’une belle cause.

Nivea parle aux enfants pour gagner des points chez les parents
La marque de cosmétique entend se positionner en pole position dans les solaires grâce à une campagne efficace de sensibilisation des petits aux ravages causés par les rayons solaires. A l’aide de packs contenant une poupée dont la « peau » est aussi sensible que ces des enfants au soleil et un tube de Nivea Sun Kids, l’opération « Nivea Dolls » explique bien aux jeunes qu’il faut se protéger. Le tout est boosté par une vidéo mignonne qui fait le buzz et Nivea parle de sa marque aux parents en donnant un curs fort utile aux enfants.
de Nivea la marque de référence de la protection auprès des parents.

Richard Prince vent des photos Instagram qu’il n’a pas prises
L’artiste Richard Prince a causé un tollé à New-York avec sa dernière exposition à la galerie Gagosian. Le plasticien a en effet pris des photos de comptes instagram appartenant à d’autres, les a agrandies, plaquées au mur et vendues 100 000 dollars pièce. Usurpation de photos privées ou génie du dépassement des individus ? Si le droit d’auteur prend un coup dans l’aile, la question sur le caractère privé ou publique de ce qui se « partage » sur les réseaux sociaux est en cause. Et le buzz médiatique est immense ! Une jolie réflexion sur l’identité 2.0.
richard

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