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Buzz et marques à suivre cette semaine du 17 mars

La leçon de buzz de Barack Obama
Maître du Buzz, le président américain s’est risqué mardi 11 mars 2014 avec brio sur le plateau du talk show « Between Two Ferns », émission 100 % web sur le site de Funny Or Die pour enjoindre les jeunes à s’inscrire via Healthcare.gov au programme d’assurance médicale qu’il a porté. Face à son hôtel le comédien de Very Bad Trip, Zach Galifianakis, le Président américain a tenu pendant 6 minutes de pure performance de vannes où il a marqué point sur point, avec une décontraction bluffante. Total ? 11 millions de vues mais « seulement » 19 000 connexions sur le site du Obamacare.

 

 

Numericable rachète SFR, quelles conséquences ?
C’est la une de tous les journaux depuis vendredi 14 mars. Que Bouygues ait été écarté du rachat et que ce soit Altice, la maison mère de Numericable qui entre en négociation exclusives avec SFR, bouleverse de panorama des télécoms français. Si rien n’est encore joué, Altice a doublé Bouygues avec une proposition de 11.5 milliards d’euros à Vivendi, qui conserverait 32% des parts. Alors que le rapprochement Bouygues / SFR aurait donné naissance à un super opérateur avec 43 % des parts du marché, Numericable est, lui, absent des réseaux de téléphonie mobile français. Donc rien ne changera au niveau des 4 grands opérateurs (SFR, Bouygues, Orange et Free), et ce rachat ne braquera pas l’Autorité de la concurrence. En revanche, une fois alliés Numericable et SFR deviendront un géant de la fibre optique, Numericable étant pionnier dans ce domaine : même si son matériel est plus daté que celui d’Orange, ses fibres connectent 3,48 millions de logements en France. SFR, quant à lui connaît 5,2 millions d’abonnés connectés en ADSL. Le rapprochement des deux entités créerait donc un mastodonte européen du haut et du très haut débit.

 

SFR logo

 

LECLERC remplace les prospectus par du digital
Cela fait depuis 2010 que LECLERC annonce son objectif « zéro prospectus » d’ici 2020. Un pas de plus a été franchi avec un test grandeur nature, en septembre et octobre derniers. LECLERC a tenté de remplacer la bonne vieille prospection papier par un équipement largement digital.Pour un budget de 400 000 euros, l’opération a duré deux semaines dans les 560 grandes surfaces du groupe Leclerc. On proposait aux clients de scanner remises et produits sur des prospectus minimalistes au volume grandement réduit. L’opération, qui a été relayée sur un site dédié et les réseaux sociaux du groupe, s’adressait à l’ensemble de la clientèle et avait pour objectif une traçabilité maximale. Les résultats semblent concluants!

 

prospectus digital leclerc

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